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Nutrition durable - c'est ainsi que ça fonctionne
Nous mangeons trois à cinq fois par jour. En additionnant les courses, le stockage et la préparation des repas, nous générons une quantité considérable d'émissions environnementales. Aujourd'hui, nous abordons les bases d'une alimentation durable.
Il y a beaucoup de choses que tu ne peux pas voir
Nous connaissons tous cette image : des produits d’épicerie soigneusement alignés dans les rayons des supermarchés. Lorsqu’on observe chaque aliment – fruits, légumes, pain, confiseries, plats préparés, sauces, produits réfrigérés, viande ou poisson – on ne voit que le produit final. On oublie vite le nombre d’étapes, le temps, les ingrédients et le nombre de personnes qui ont contribué à sa production jusqu’à présent. (À ce stade, un grand merci mental à ceux qui labourent les champs, travaillent dans les usines ou transportent les marchandises jour après jour !)☺️
Toutes ces étapes génèrent des émissions environnementales, consomment de l'énergie et des ressources. Et tout cela est finalement invisible lorsque le produit est retiré du panier et placé en rayon chez soi.
L'alimentation a donc beaucoup à voir avec l'environnement. Pour contribuer un tant soit peu à la protection de l'environnement, vous pouvez vous informer sur l'impact de la production alimentaire et essayer d'agir différemment. Bien sûr, l'objectif ultime ne devrait pas être de cesser complètement de manger. Personne ne devrait non plus exiger des autres qu'ils deviennent autonomes. Mais avec quelques astuces et habitudes, vous pouvez économiser pas mal de ressources et d'énergie…

Photo de Maddi Bazzocco sur Unsplash
L'achat
Lorsque vous achetez des fruits et légumes, tenez compte autant que possible de la saisonnalité et de la provenance régionale. Acheter des produits locaux permet de réduire les frais de transport. Les fruits exotiques, en particulier, sont désormais disponibles toute l'année. Alors, demandez-vous si vous avez vraiment besoin d'une mangue des Caraïbes en décembre…
Cela vaut également la peine de se rendre sur les marchés hebdomadaires. Cela vaut la peine de se demander à nouveau d’où vient la nourriture.
Les aliments biologiques ou issus du commerce équitable sont produits dans de meilleures conditions pour le climat et/ou les travailleurs. Le bio, d'ailleurs, est beaucoup moins cher qu'on le pense souvent. Presque tous les supermarchés proposent désormais leur propre gamme bio, même si la qualité des labels varie évidemment.
Concernant les produits animaux tels que les œufs, le lait, la viande et le poisson, il est important de noter que ce n'est généralement pas le mode de transport qui fait la plus grande différence. L'impact climatique le plus important réside dans la quantité d'aliments concentrés et les ressources nécessaires à l'élevage des animaux. Mais ici aussi, la régionalité et la qualité biologique sont importantes.
Bien sûr, il est encore meilleur pour l'environnement d'éviter la viande de temps en temps. Il existe de nombreuses alternatives à la viande à base de soja ou de blé, et de nombreux carnivores sont agréablement surpris par leur goût. Ça vaut le coup d'essayer !
Heureusement, de plus en plus de gens prêtent attention à la consommation de plastique. Apporter son propre panier ou sac de courses permet d'économiser des ressources et devient pratiquement sans effort une fois qu'on s'y est habitué.
De plus en plus de fabricants tentent de trouver des alternatives au plastique comme matériau d’emballage.Néanmoins, le principe est le suivant : ce qui ne se vend pas finira tôt ou tard par se révéler au fabricant. Car, en fin de compte, c'est la demande qui détermine l'offre. ☺️
Le stockage
Une fois rentré chez vous, un stockage approprié détermine la durée de conservation des aliments.
La plupart des produits frais finissent au réfrigérateur. Il dispose de différentes zones de refroidissement. Les aliments particulièrement délicats doivent être placés directement au-dessus ou sur la clayette en verre. C'est là qu'ils sont les plus froids. Les conserves ouvertes, les confitures ou les restes se conserveront mieux un peu plus haut. Et le bac à légumes ne s'appelle pas « bac à légumes » pour rien : les six à huit degrés Celsius (46 à 48 degrés Fahrenheit) et le taux d'humidité y sont idéaux pour la plupart des légumes et des fruits.
Une autre petite astuce qui peut faire toute la différence : placez les produits les plus frais ou les plus durables au fond du réfrigérateur. Ainsi, vous éviterez d'oublier quoi que ce soit et consommerez en premier les aliments les plus périmés.
La préparation
Saviez-vous que vous pouvez économiser de l'énergie même en faisant bouillir de l'eau ? Du moins, je l'ignorais depuis longtemps. Chauffer de l'eau dans une bouilloire et la verser dans une casserole pour cuire des pâtes, par exemple, permet d'économiser jusqu'à 80 % d'énergie par rapport à une cuisinière électrique !
Assurez-vous également que la casserole ou la poêle est bien ajustée à la plaque de cuisson. Un écart de seulement deux centimètres peut entraîner une perte d'énergie d'environ 30 %. En mettant le couvercle sur la casserole ou la poêle, vous pouvez baisser légèrement le feu sans problème.
La date limite de consommation doit être considérée comme une indication (après tout, on l'appelle date limite de consommation MINIMUM et non date limite de consommation MAXIMUM). 😋). Ici, il est essentiel de faire appel à ses sens. Si le produit a encore une belle apparence, une bonne odeur et un bon goût, il peut généralement être consommé sans problème.
Nous jetons encore beaucoup trop de nourriture. Vous trouverez ici des conseils pour éviter ou réduire le gaspillage alimentaire.
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Photo de Gaëlle Marcel sur Unsplash
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